propriétés des nanoparticules

en 2008, L’organisation internationale de normalisation (ISO) a défini une nanoparticule comme un nano-objet discret dont les trois dimensions cartésiennes sont inférieures à 100 nm. La norme ISO définit de manière similaire les nano-objets bidimensionnels (c.-à-d. les nanodisques et les nanoplates) et les nano-objets unidimensionnels (c.-à-d. les nanofibres et les nanotubes)., Mais en 2011, la Commission de l’Union européenne a approuvé une définition plus technique mais plus large:

exemples de puissances de 10

des exemples de domaines biologiques et mécaniques illustrent divers « ordres de grandeur” (puissances de 10), de 10-2 mètres jusqu’à 10-7 mètres.

Illustration: Encyclopædia Britannica, Inc.,; photographies: (dispositifs microélectromécaniques) avec la permission de Sandia National Laboratories, SUMMiT™ Technologies; (quantum corral) avec la permission D’IBM Research Center, non autorisé utilisé non autorisé; (globules rouges) Susumu Nishinaga / Science Source; (cheveux humains) Manfred Kage/Peter Arnold, Inc.,; (dust mite) Andrew Syred/Science Source

matériau naturel, accessoire ou fabriqué contenant des particules, à l’état non lié ou sous forme d’agrégat ou d’agglomérat et dont, pour 50% ou plus des particules dans la distribution de taille numérique, une ou plusieurs dimensions dans la plage de taille 1 nm–100 nm.,

selon cette définition, un nano-objet n’a besoin que d’une de ses dimensions caractéristiques pour être classé comme une nanoparticule, même si ses autres dimensions sont en dehors de cette plage. (La limite inférieure de 1 nm est utilisée car les longueurs de liaison atomiques sont atteintes à 0,1 nm.)

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cette plage de taille—de 1 à 100 nm—chevauche considérablement celle précédemment affectée au domaine de la science des colloïdes—de 1 à 1 000 nm-qui est parfois appelée méso-échelle. Ainsi, il n’est pas rare de trouver de la littérature qui se réfère aux nanoparticules et aux particules colloïdales en termes égaux. La différence est essentiellement sémantique pour les particules de taille inférieure à 100 nm.

les nanoparticules peuvent être classées en différents types, selon leur taille, leur forme et leurs propriétés matérielles., Certaines classifications distinguent les nanoparticules organiques et inorganiques; le premier groupe comprend les dendrimères, les liposomes et les nanoparticules polymères, tandis que le dernier comprend les fullerènes, les points quantiques et les nanoparticules d’or. D’autres classifications divisent les nanoparticules selon qu’elles sont à base de carbone, Céramiques, semi-conductrices ou polymères. En outre, les nanoparticules peuvent être classées comme dures (par exemple , titania, particules de silice et fullerènes) ou comme molles (par exemple, liposomes, vésicules et nanodroplets)., La façon dont les nanoparticules sont classifiées dépend généralement de leur application, par exemple dans le diagnostic ou la thérapie par rapport à la recherche fondamentale, ou peut être liée à la façon dont elles ont été produites.

Il existe trois propriétés physiques majeures des nanoparticules, et toutes sont interdépendantes: (1) elles sont très mobiles à l’État libre (par exemple, en l’absence d’une autre influence supplémentaire, une nanosphère de silice de 10 nm de diamètre a une vitesse de sédimentation sous gravité de 0,01 mm/jour dans l’eau); (2) elles ont,, une cuillère à café standard, ou environ 6 ml, de nanosphères de silice de 10 nm de diamètre a plus de surface qu’une douzaine de courts de tennis de taille double; 20 pour cent de tous les atomes de chaque nanosphère seront situés à la surface); et (3) ils peuvent présenter ce que l’on appelle des effets quantiques. Ainsi, les nanoparticules ont une vaste gamme de compositions, selon l’utilisation ou le produit.

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