Le 13 juillet 1787, le Congrès promulgue l’ordonnance du Nord-Ouest, structurant la colonisation du territoire du Nord-Ouest et créant une politique pour l’ajout de nouveaux États à la nation. Les membres du Congrès savaient que si leur nouvelle Confédération devait survivre intacte, elle devait résoudre les revendications concurrentes des États sur le territoire de l’Ouest.

en 1781, la Virginie a commencé par céder ses vastes revendications territoriales au Congrès, une décision qui a rendu les autres états plus à l’aise de faire de même., En 1784, Thomas Jefferson a d’abord proposé une méthode pour incorporer ces territoires de l’Ouest aux États-Unis. Son plan a effectivement transformé les territoires en colonies des états existants. Dix nouveaux territoires du nord-ouest choisiraient la constitution d’un état existant, puis attendraient que sa population atteigne 20 000 habitants pour rejoindre la Confédération en tant que membre à part entière. Le Congrès, cependant, craignait que les nouveaux États—10 dans le nord—ouest ainsi que le Kentucky, le Tennessee et le Vermont-acquièrent rapidement suffisamment de pouvoir pour l’emporter sur les anciens et n’ont jamais adopté la mesure.,

trois ans plus tard, L’ordonnance du Nord-Ouest proposait la création de trois à cinq nouveaux États à partir du territoire du Nord-Ouest. Au lieu d’adopter les constructions juridiques d’un état existant, chaque territoire aurait un gouverneur et un conseil nommés. Lorsque la population atteint 5 000 habitants, les habitants peuvent élire leur propre assemblée, bien que le gouverneur conserve un droit de veto absolu. Lorsque 60 000 Colons résidaient dans un territoire, ils pouvaient rédiger une constitution et demander le statut d’État à part entière., L’ordonnance prévoyait les libertés civiles et l’éducation publique dans les nouveaux territoires, mais n’autorisait pas l’esclavage. Les Sudistes Pro-esclavagistes étaient prêts à accepter cela car ils espéraient que les nouveaux états seraient peuplés de colons blancs du Sud. Ils croyaient que même si ces Sudistes n’auraient pas de travailleurs asservis, ils ne se joindraient pas au mouvement d’abolition croissant du Nord.

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